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La clôture du festival dans le grand Métropolis qui n'est pas tout à fait plein pour accueillir Marie-Pier Arthur, la grande Marie-Pierre Arthur. elle reçoit pourtant d'emblée, avant même le premier morceau, un triomphe bruyant à la romaine. C'est toujours aussi beau mais c'est, sans doute histoire de combler les grands espaces de la salle, plus musclé que ce à quoi on s'attendait : les clairs et obscurs sont moins marqués mais les reliefs sont élevés, les chansons fortes, jouées dans une joie apparente et apparemment très communicative, s'enchaîne dans le tonnerre, et on continue à se demander pourquoi cette formidable madame n'est pas encore allée décrocher de l'or de notre côté de l'Atlantique.
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