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Mercredi, c’était soir de tempête. Alors que les métros tombaient en panne et que les autobus circulaient tant bien que mal dans des rues à peine dégagées, une foule bigarrée (mi-auditeurs de Christiane Charrette, mi-coiffeurs et coiffeuses de salons branchés, toi, moi pis ta mère) convergeait vers le National pour la rentrée montréalaise de Marie-Pierre Arthur.
(...)« the girl in the band ». Longtemps la bassiste de l’un et la choriste de l’autre, Marie-Pierre Arthur terminait une année (et une ascension) incroyable devant un public conquis d’avance.
Mercredi, c’était soir de tempête. Alors que les métros tombaient en panne et que les autobus circulaient tant bien que mal dans des rues à peine dégagées, une foule bigarrée (mi-auditeurs de Christiane Charrette, mi-coiffeurs et coiffeuses de salons branchés, toi, moi pis ta mère) convergeait vers le National pour la rentrée montréalaise de Marie-Pierre Arthur.
(...)« the girl in the band ». Longtemps la bassiste de l’un et la choriste de l’autre, Marie-Pierre Arthur terminait une année (et une ascension) incroyable devant un public conquis d’avance.
Bien entourée (Olivier Langevin à la gigue et à la guitare, des apparitions-surprises de Louis-Jean Cormier et François Lafontaine de Karkwa), Arthur a pas mal fait le tour de son premier compact en plus d’y aller de quelques reprises (du Fleetwood Mac!). Que dire de plus? Son impec ’, bonne chimie avec son « band », tout le monde il est beau, tout le monde il est content!
Extraits de l'article "D’un extrême à l’autre (retour sur les concerts de Marie-Pierre Arthur et Speed Massacre)" d'André Péloquin, BangBang, le 12 décembre 2009
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